Pour le numérique, c’est le Konica Minolta 7D (2004), qui est une déclinaison du Dynax 7 en numérique (on retrouve a peu de choses près les mêmes molettes et boutons de commandes), qui assure la captation. C’est le premier reflex de Minolta dans le monde numérique (le premier modèle étant le Dimage V de 1997).

Format APS-C homothétique (24×36), sa résolution, bien que limitée à 6Mpx, est largement suffisante pour produire de belles images.

Il dispose d’ailleurs d’un système « anti shaking » débrayable, grosse innovation pour l’époque, reprise d’ailleurs par Sony pour sa gamme actuelle. Avec ce système, c’est le capteur qui est monté sur des « amortisseurs » et non les parties optiques.

Autre particularité de ce modèle, qui le rapproche de l’argentique, c’est qu’on ne peut pas viser avec l’écran, réservé à la visualisation des réglages et des images enregistrées.
Avantage non négligeable, le 7D est compatible avec tous les accessoire de la gamme autofocus (optiques, télécommandes, viseurs).

Le flash associé est ici le 5600 HSD, conçu spécifiquement pour ce boitier, les modèles précédents ne permettant pas certaines options de synchronisation.

Là aussi, vu la consommation de la bête, accus Eneloop obligatoires avec la poignée verticale dédiée.

Pour en savoir plus sur ce boitier : Collection appareils : Konica Minolta 7D